C'est avec beaucoup d'émotion (et une folle envie de crier ma joie sur les toits) que je vous annonce ce soir une grande nouvelle : 

Le manuscrit de La douce amertume du café est prêt !

Pour tout savoir sur l'aventure de ce roman, c'est ICI

La phase 4, qui a consisté à annoter, restructurer, corriger, réécrire, relire, modifier..., vient de se terminer. Ce fut un travail intensif, qui m'a occupée pendant trois semaines, au détriment de mon sommeil et de ma santé (mais ça, c'est un détail).

Après la phase de bêta-lecture (janvier-février), mon roman m'est apparu comme une sorte de puzzle, un méli-mélo de pièces en vrac sur la table.

Tout était assemblé de travers, en un formidable fouillis. Je vous expliquerai bientôt ce qui a changé. Ce sera un article un peu spécial dont la rédaction qui me tient à cœur depuis longtemps.

Pour le moment, je me contenterai de quelques chiffres :

Avant (version du 1^er janvier) :   493 pages A5 / 77680 mots / environ 457 000 signes

Après (version du 15 mars) :      426 pages A5 / 69462 mots / environ 408 000 signes

Comme Lisa, le personnage principal, j'ai désencombré : 10 % de moins.

Il faut privilégier la qualité plutôt que la quantité, n'est-ce pas ?

Promis, dans quelques jours, je vous dis tout sur ce puzzle géant que j'ai intégralement réorganisé grâce aux indications précieuses de ma formidable équipe de bêta-lecteurs.

Vous découvrirez comment chacun d'entre eux a apporté sa petite pierre à l'édifice.